Site non islamophobe ni musulmanophobe

Ce blog montre des vidéos et textes sur les rapports entre la doctrine de l'islam et le nazisme.
Montrer que la doctrine islamique a des éléments comparables à ceux de la doctrine nazie, ne doit en aucun cas être interprété comme une mise en cause des personnes nommées ou qui se nomment "musulmanes". Ce blog n'est ni islamophobe, ni musulmanophobe.
Si certains musulmans approuvent et appliquent les éléments des normes islamique, de la loi d'Allah, contraires aux droits humains, d'autres musulmans au contraire ne les approuvent pas et ne les appliquent pas. Les musulmans qui ne définissent pas les non musulmans comme "ennemis" ne sont en aucun cas des "ennemis", mais juste des personnes ayant une conception contradictoire d'une doctrine.
Les musulmans qui tentent de concilier droits humains et loi islamique se fourvoient dans une impasse, quelle que soit leur bonne volonté. Pour leur malheur et le nôtre, ils persistent à renforcer une barbarie qui pourtant leur fait horreur ... Il faut sortir de cette absurdité.
L'islam est une doctrine, elle doit être critiquée, contestée, le but de ce blog est de convaincre ceux qui ne le seraient pas encore de la barbarie des normes islamiques centrales, afin d'éviter que certains de ses adeptes ne persistent ou tombent dans cette barbarie.
C'est uniquement le carriérisme, l'affairisme et la cupidité de certains, toutes origines confondues, qui aujourd'hui s'opposent à cette prise de conscience, au moyen de l'escroquerie intellectuelle qui taxe de racisme ou d'essentialisme la critique de la doctrine islamique.

Youssouf Fofana, tortionnaire d'Ilan Halimi sur le modele de Mahomet


Youssouf Fofana: confessions d'un "barbare"
Par Pascal Ceaux, Jean-Marie Pontaut et , publié le 23/01/2008
Youssouf Fofana, responsable du rapt et de la mort d'Ilan Halimi, en 2006
avait organisé, le 20 janvier 2006, l'enlèvement, à Paris, d'un jeune juif et sa séquestration, à Bagneux (Hauts-de-Seine). Avec l'appui d'une dizaine de complices, Fofana avait ensuite exigé une rançon en échange de la libération d'Ilan Halimi, au prétexte que «les juifs ont de l'argent». Trente-trois jours plus tard, le jeune homme avait été retrouvé, agonisant, au bord d'une route dans l'Essonne. 
Deux ans ont passé. Youssouf Fofana n'a pas changé. Dans son courrier, les cibles sont multiples, mais l'ennemi, toujours le même: le juif et ses soutiens supposés, tel Nicolas Sarkozy, «vendu à la solde des sionistes américains». Lorsque les juges d'instruction Corinne Goetzmann et Baudouin Thouvenot l'ont interrogé sur les motivations antisémites de son acte, il a répondu: «Allah et son prophète, ils aiment pas les juifs.» Il a aussi signé l'un des procès-verbaux d'interrogatoire en l'accompagnant de la mention: «A mort Israël.»

Youssouf Fofana est bien plus prolixe dès qu'il est question de l'affaire, de «son» affaire. Il évoque ainsi volontiers son emprise sur ses complices: la jeune fille qui servit d'appât pour attirer Ilan Halimi, les geôliers du jeune homme dans un immeuble de Bagneux, ceux qui l'accompagnèrent jusqu'à la scène finale des cinq coups de couteau et du corps partiellement brûlé. «J'ai été le chef, oui, ils m'obéissaient tous.»

 Lors d'une audition devant le juge Thouvenot, il déclare: «Moi, je vous aime bien, mais je préfère Mme Goetzmann parce que c'est une juive et que je préfère avoir mes ennemis en face de moi et pas d'intermédiaire.» Plus tard, lors d'une confrontation avec d'autres mis en examen, Youssouf Fofana demande à faire une déclaration. «Inch Allah, commence-t-il, il y aura un commando qui va m'évader [...] politiquement, je suis le symbolique trophée de guerre détenu par les sionistes de New York [...]. Economiquement il y a des compagnies pétrolières arabes qui au nom d'Allah voudront à tout prix récupérer le symbolique trophée de guerre...» Et les propos de celui qui se rêve aussi un destin de «grand chef de guerre» en Côte d'Ivoire se concluent par une demande de mise en liberté.